Ateles paniscus, Jeune atèle ou singe-araignée ou encore kwata (Kal), recueilli dans un centre sur la crique balata (St Laurent) 

Un autre autrement plus beau, car pris dans la nature, pendant une balade au camps canopée.

zoo de Macouria

A droite, un singe atèle en haut de la canopée, un peu flou, mais libre. Ou à gauche, on le voit certes beaucoup mieux, mais derrière des barreaux ?

Surinam, Voltzberg

Tamarins à mains jaunes Saguinus midas. Prompts à fuir, ils sont curieux mais pas téméraires !

Saïmiri sciureus aux îles du salut

(Kal : Agalima)

Toute une bande de saïmiris d'au moins cinquante individus. Ils sont rapides et se cachent vite dans la canopée. Et ils sont très habiles.

Cebus apella ou  capucin brun (Kal : mékou)

Tika, un habitant de Kourou assez agité

Et Marie-Ange.        Typique : Il râle quand on l'embête et ne se prive pas d'embêter les autres quand il peut. 

Ses copains des îles du salut

Celui-ci me jetait des noix de coco dessus. On le voit se débattre pour arracher le prochain projectile.

Avec un petit sur le dos. Accroche toi bien l'arsouille !

Alouatta seniculus

Singe hurleur près de Sinnamary. L'animal effectivement le plus bruyant de la forêt amazonienne. Les mâles se servent d'un os creux sous leur menton (os hyoïde) faisant caisse de résonance pour émettre des cris rauques et "venteux". Il n'est pas rare de les entendre (jusqu'à plus de 4 km !). Et quand ils sont proches, c'est pour le moins impressionnant.

Une autre fois, toujours sur le Sinnamary.

Bradypus tridactylus. Paresseux Aï à 3 doigts. Plus lent, y'a pas.

(Kal : koubilichi)

Un beau mâle, avec la tâche caractéristique sur le dos.

Un autre

Encore un : Généralement, c'est plutôt comme ça qu'on voit des paresseux, c'est-à-dire, pas très bien !

Ca a une bonne tête, non ?

Photo Stéphane Lapos

Choloepus didactylus. Paresseux Unau à 2 doigts. Plus agressif que son cousin ! (Kal : Aïpaoulan)

Photo Sébastien Barrioz

Fourmilier géant ou grand tamanoir ou encore Myrmecophaga tridactyla (anciennement Tamandua tridactyla). Zoo de Macouria hélas !

Tamandua tetradactyla. Le tamandua est un petit fourmilier qui vit autant dans les arbres qu'au sol. Il cherche des nids de fourmis ou de termites qu'il casse avant d'en avaler le maximum grâce à sa langue longue et collante.

Celui-ci, pas très discret était en train de piller un nid au sol, sous des branchages. Il faisait tant de bruits qu'il ne nous a pas entendu arriver. Il s'est rendu compte de notre présence quand on était tout proche (2m). Après une bonne période d'immobilisation (genre, pas vu !), il s'est déplacé légèrement nous permettant de voir sa tête, puis s'est enfui dans la forêt trop dense pour nous. 

Panthera onca. Jaguar (Zoo de Macouria) (Kal : paloulouyala)

Leopardus pardalis. Ocelot (zoo St Jean)

Ocelot, zoo de Macouria

Felis concolor. Puma (zoo St Jean)

(Kal : koussali yala)

Océma : croisement ocelot (m) et puma (f)

(zoo St Jean)

Jeune lamentin avec sa maman, aux roches, Kourou

Pour respirer, les lamentins ne sortent souvent que le bout de leur museau. On peut aussi apercevoir leur palette natatoire (queue)

Dauphin tucuxi ou Sotalie, Sotalia fluviatilis. En direction des îlets "la mère" qui elle-même est un lieu de rencontre fréquent de ce petit cétacé. Cette espèce subit de grande perte dans les filets de pêcheurs chaque année.

Il y en avait une bonne vingtaine là.

Zébus aux marais de Kaw

Dasyprocta agouti. Agouti (îles du salut)

(Kal : agouli)

Nombreux agoutis le matin aux îles 

Seraient-ils dressés pour entraîner les coqs au combat ???

Agouti paca. Pack, zoo de St Jean

Tayassu tajacu. Cochon-bois ou pécari, zoo de Macouria. (kal : pindjo)

Dasypus novemcinctus. Tatou, piste lassouraïlle, Kourou

Excellents nageurs. D'ailleurs ils vivent dans des marais ou dans les fleuves.

coendou prehensilis ou porc-épic. Notez la queue préhensile (d'où son nom !)

Epines de coendou plantées dans un arbre. Il a dû se défendre vis-à-vis d'un prédateur potentiel. L'histoire ne dit pas si il est passé à la casserole, mais l'indésiré est sûrement reparti avec quelques balaises échardes.

Didelphis marsupialis. Le pian, un marsupial commun dans nos jardins.

Pian femelle prise au piège avec ses petits dans mon jardin.

(Kal : awale)

Coati Nasua nasua

Photo Sébastien Barrioz

Un autre, aperçu furtivement au golf

Raton, Procyon cancrivorus, au zoo de St Jean

Marmosops parvidens, ou opossum, petit marsupial arboricole

Et un petit rat non identifié

Philander opossum, un cousin guère plus gros. Le pian des forêt

Un autre, à 200 m de là. Ils se laissent assez facilement approché. Les 2 spécimens sont partis quand j'ai commencé à grimper à l'arbre sur lesquels ils se trouvaient.

Petit écureuil de Guyane. J'en avais déjà vu, très furtivement. Ils ont tendance à nous repérer de très loin et à se cacher dans les hauteurs. Mais ce jour-là, il était coincé sur des feuilles de balisiers. Pas de fuite possible vers le haut ce qui m'a permis de faire ces photos. Il a finit par fuir avec un magnifique saut de l'ange pour atterrir 5 mètres plus bas et 5 mètres plus loin sur une autre feuille de balisier. La feuille a à peine bougé et lui s'est arrêté net sur la feuille.

Qui pourra me dire à qui appartient cette bouche agressive, au milieu du trou dans l'arbre creux ?

Les chauves-souris sont très nombreuses en Guyane. Le nombre d'espèces représente à lui seul la moitié des espèces de mammifères de Guyane. Il y en a des petites de qqs cm et des plus grosses de 60 cm d'envergure, elles peuvent être frugivores, insectivores, charognards. Leurs habitats est variés mais fragiles ! Troncs creux, toits des maisons / carbets, palmiers ...

(Kal : lélé)

En plein vol !

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